Il va traverser l’Atlantique dans un tonneau

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Étant donné que l’on retrouve des paris sur tous les styles de sports sur des sites de bookmakers comme NetBet ; nous sommes en droit de nous demander aujourd’hui, avec amusement, si on pourra réellement parier prochainement sur ce sportif et l’avenir de son challenge tout à fait intrigant et insolite qui se profile depuis quelques jours à l’horizon ?

En effet, on apprend ce mercredi matin dans la presse qu’un aventurier vient de se fixer pour objectif farfelu de traverser l’Atlantique dans un tonneau. Pleins feux sur cette histoire que l’on pourrait titrer : « Sa Route du rhum dans une barrique. ».

La barrique de Jean-Jacques

Depuis le 15 novembre, on peut voir Jean-Jacques Savin, 71 ans et vivant à Arès en Gironde, s’activer autour de la préparation de son « tonneau » en vue de traverser l’Atlantique… Jean-Jacques Savin, un Français grand sportif et « aventurier dans l’âme » de 71 qui s’amuse de son challenge en dévoilant à qui veut l’entendre que ce défi est en quelque sorte « sa Route du Rhum, dans une barrique ! ».

Mais derrière cette actualité insolite se cache une vraie performance sportive, car il tentera de traverser l’Atlantique dans un tonneau aux airs de capsule spatiale, par la seule force des courants dans les prochaines semaines.

Il suffit de se rendre dans la cour d’un petit chantier naval d’Arès, sur le bassin d’Arcachon dans l’ouest de la France, pour découvrir ce qu’il appelle « sa barrique ». Un très gros tonneau orange avec sa forme oblongue et ses côtés biseautés. Mais n’allez pas vous imaginer qu’il sera à l’étroit là-dedans ! En effet, cette embarcation fabriquée en contre-plaqué époxy ; à savoir un procédé qui durcit la matière pour la faire résister à l’assaut des vagues ; mesure quand même 3 mètres de long, et propose un diamètre principal de 2,10 m pour un poids de 450 kg à vide.

Si nous plongeons à l’intérieur de cet étrange fût flottant, nous retrouvons alors dans 6 m2 d’espace de vie, avec un coin couchette, mais aussi un espace cuisine, un bureau des cartes et un côté stockage. Ne manquant pas d’humour, il montrera à qui veut le voir en pointant le sol ce qu’il appelle avec amusement « sa télévision ». Il s’agit en l’occurrence ici d’un hublot qui lui permettra de voir les poissons. Ce qui sera pour lui un spectacle permanent.

Jean-Jacques Savin, 71 ans

Mais qui est donc ce drôle de personnage sur lequel vous pourriez bien miser un de ces quatre sur un site de paris en ligne comme ParionsSport ?!

Eh bien, il s’agit en fait d’un retraité de l’armée. Ancien militaire parachutiste, ce dernier a baroudé en Afrique où il a également travaillé comme pilote privé et conservateur de parc national. Un homme qui veut aujourd’hui et selon ses dires, « ouvrir une nouvelle façon de naviguer ». Et il le fera donc au travers de ce pari fou de se laisser dériver au gré des vents et des courants, sans aucun moyen d’intervenir sur la trajectoire.

Un projet fou

Il faudra donc patienter d’ici le 20 décembre, pour pouvoir suivre les aventures de cet amateur de triathlon, plutôt mince et musclé, qui compte s’embarquer à partir des Canaries. Son objectif sera d’arriver quelque trois mois plus tard, de l’autre côté de l’Atlantique. Un challenge vraiment basé sur la chance et le hasard puisque, lui-même, a conscience qu’il ne sait pas précisément où il débarquera de son tonneau, entre la Barbade et la Guadeloupe.

Mais il sait que son projet est ambitieux et un peu fou, mais il dévoile qu’il a cependant un but pour celui qui est un amoureux inconditionnel de la nature : « Vivre cette sensation de liberté, admirer les richesses de la faune aquatique. ». Mais il faut dire qu’à l’origine de cette aventure se trouve un livre que Jean-Jacques Savin a lu et relu. Il s’agit en effet de mettre en pratique ce qu’il a vu dans le « Naufragé volontaire » d’Alain Bombard, publié en 1952 et racontant l’histoire d’un médecin qui avait traversé l’Atlantique en solitaire sur un canot pneumatique, sans eau ni nourriture, se nourrissant de poisson et de plancton, pour tester la capacité de survie en mer.

Une aventure sous un fonds de recherches

Faisant référence et allusion à l’équipement ultra-sommaire de son illustre prédécesseur, M. Savin déclare lucidement cependant : « Je ne m’appelle pas Alain Bombard. Je ne serais pas parti à l’époque avec lui. ».

En effet, le septuagénaire va de son côté quant à lui s’embarquer avec un radeau de survie, mais aussi un téléphone satellite, des balises qui indiqueront à tout moment sa position, et bien sûr de la nourriture lyophilisée. Son embarcation sera également équipée d’un harpon pour pêcher, d’un dessalinisateur… et de quelques demi-bouteilles de Saint-Emilion pour fêter Noël et ses 72 ans le 14 janvier. C’est qu’il ne se laisse pas abattre le Jean-Jacques !

Mais si l’aventure peut paraître insolite et le geste farfelu, il n’en reste pas moins que ce projet se veut également en quelque sorte scientifique. En effet, le navigateur français larguera des balises de la JCOMMOPS (organisation internationale qui observe les océans) pour étudier les courants. Sans compter que par la même occasion, il fera lui-même l’objet de tests sur la solitude en milieu clos. Dans l’absolu, on peut même aller jusqu’à pousser l’expérience au domaine viticole puisque le vin sera également à l’épreuve et au programme des tests. On va en effet pouvoir découvrir si du Bordeaux dans une amphore en terre cuite pourra être comparé au même vin resté à terre.

Un projet amusant, mais pas sans dangers

Si ce fameux tonneau a déjà été testé sur le bassin, on recense quand même un regret de la part de ce dernier qui est de ne pas avoir encore fait d’essais en conditions extrêmes. Il est évident que ce futur navigateur s’attend à être ballotté par les vents. Mais il ne se démonte pas et continuera, toujours sous le ton de l’humour et de l’amusement, en déclarant : « Le tonneau va faire des tonneaux. ».

Mais l’aventure n’est pas sans danger et il a une seule crainte pour ce voyage. Celle de la présence des orques qui sont parfois plutôt agressifs. Quant à la solitude, il prévoir tout simplement de la meubler avec la présence de sa mandoline et de livres. Sans compter qu’il a bien l’intention de tenir journal de bord, voué à être ensuite évidement publié.

On ne sait pas encore sur quels sites de paris sportifs en ligne on pourra miser sur ce drôle de navigateur et son projet fou, mais on sait cependant que son voyage est sponsorisé par le fabricant girondin de tonneaux Boutes. Mais si vous lisez notre article sur notre portail et que vous cherchez à financer un projet du genre, sachez que M. Savin cherche encore d’autres soutiens financiers pour boucler un budget de 60.000 euros.

Et si vous n’êtes pas investisseurs, que vous pariez prochainement sur sa performance ou que vous êtes juste curieux de savoir comment va se dérouler son périple, il est intéressant de relever que le public pourra suivre le navigateur sur un site internet dédié que vous retrouverez donc ici.

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